Appel à communications
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International et interdisciplinaire, ce colloque incite à centrer le regard sur les forêts dans leur diversité, en considérant leur multidimensionnalité et leur multifonctionnalité. Il vise plus particulièrement à interroger les transitions qui les affectent, en s’intéressant aux concepts, aux méthodes, aux mesures de ces transitions, de leurs causes et de leurs conséquences, aux enjeux liés, en se plaçant aussi dans une démarche prospective. L’appel à communications s’adresse ainsi aux chercheurs de différentes disciplines, relevant des sciences de la vie et de la terre autant que des sciences humaines et sociales. Sans être obligatoires, les propositions issues de recherches interdisciplinaires, voire transdisciplinaires, seront particulièrement appréciées. En effet, quand bien même les travaux spécifiques s’avèrent nécessaires, pour approfondir certains points, il nous semble indispensable, à certains moments, de mêler les regards émanant de chercheurs de différentes disciplines, sur ces écosystèmes si complexes que sont les forêts, ce d’autant plus au regard de leur multifonctionnalité : espaces de loisirs, parfois sacrés, de préservation de la biodiversité, de production de bois et autres produits forestiers non ligneux… Les attentes sociétales sont nombreuses.L’intérêt des recherches inter/transdisciplinaires est d’autant plus grand lorsque l’on questionne les transitions en cours et que l’on souhaite imaginer les forêts de demain. Cette démarche est celle que nous avons adoptée pour le projet Plantaclim (financé par la Région Centre-Val de Loire et porté par l’UMR CITERES[1]) visant, selon son intitulé, à « Maximiser les services des (re)plantations forestières dans le contexte du changement climatique ». C’est dans le cadre de ce dernier que ce colloque international et interdisciplinaire est organisé.
Nous avons souhaité élargir la réflexion, au-delà des seules plantations forestières, écosystèmes fortement anthropisés, et sans se restreindre à la seule question du changement climatique : quand bien même elle est de plus en plus prégnante, elle ne doit pas faire oublier les autres questions et problématiques qui se posent quant à l’existence ou la gestion des forêts, quelles qu’elles soient, plantées ou spontanées donc, mais aussi urbaines ou rurales ou bien encore tempérées, tropicales, boréales… Pour élargir la réflexion, nous attendons donc des propositions portant sur différents terrains, au-delà du seul cas de la France métropolitaine.
Argumentaire Le terme de transition désigne, dans un sens général, le « passage d’un état à un autre » (dictionnaires Larousse et Le Robert[2]). Il est toutefois « protéiforme » et, même « en référence à l’environnement, [il] a plusieurs acceptions » (Doyon et Bougue, 2022). Dans leur Dictionnaire de la pensée écologique, D. Bourg et A. Papaux (dir., 2015) précisent que la transition est « un processus de transformation au cours duquel un système passe d’un régime d’équilibre à un autre ». Le terme peut donc permettre de caractériser les mutations qui affectent les écosystèmes forestiers, à l’heure où les forêts apparaissent « en crise » (Ateliers ReGeFor 2020, 2023), où on s’attend à une transformation profonde des paysages forestiers (nouvelles espèces, essor des plantations forestières), un « changement de décor »[3], d’ailleurs déjà à l’œuvre (dépérissements, îlots d’avenir en France), sous l’effet du changement climatique, en lien ou en réaction, dans le cadre de stratégies d’atténuation et/ou d’adaptation. En lien, ce sont notamment les incendies, les tempêtes et autres événements climatiques extrêmes dommageables qui se multiplient. Cette « crise » apparaît ainsi comme une menace pour les forêts mais elle peut aussi être une opportunité, pour les acteurs comme pour la biodiversité (Bouget, Cours & Sallé, 2023). Il importe toutefois de ne pas se focaliser sur ce seul facteur de changement, quand bien même il suscite des incertitudes et souvent des craintes – justifiées – quant à l’avenir des forêts. D’autres facteurs sont à considérer, tels que l’écologisation de la société qui peut concourir, avec le changement climatique, à une certaine remise en cause de la filière forêt-bois (Robert & Boughedada, 2023) ; entre autres, l’« industrialisation des forêts » est dénoncée et les coupes dites rases sont décriées, ce qui est à mettre en lien avec la mise en exergue d’autres services écosystémiques associés aux forêts (séquestration du carbone, qualité de vie et bien-être...). Les forêts sont aussi confrontées à d’autres pressions survenues à l’heure de l’Anthropocène, surtout depuis la grande accélération (Great acceleration : McNeill & Engelke, 2016), relevant des changements que l’on qualifie de globaux : « En français, l’expression a progressivement glissé vers un sens plus large pour désigner tous les changements imprimés aux écosystèmes par l'anthropisation, dans le cadre plus général de l'avènement d'un Anthropocène, une ère géologique dans laquelle les sociétés humaines transforment de manière irréversible leur environnement » (Géoconfluences, 2023). La biodiversité s’érode. Les espèces envahissantes, souvent introduites – comme Prunus serotina en France (Javelle, Kalaora & Decocq, 2010) ou les acacias australiens dont Acacia mangium dans certains pays comme l’Afrique du Sud (Koutika & Richardson, 2019), pourtant plantés sur de vastes étendues dans d’autres comme le Viêt Nam (Amat, Phung Tuu, Robert & Trân Huu, 2010) –, se multiplient. La déforestation se poursuit – même là où la superficie forestière totale progresse, grâce aux plantations (cas du Viêt Nam : Tran Quoc et al., 2023). Associé aux forêts, le terme de « transition » peut aussi plus spécifiquement renvoyer au concept de « transition forestière » (forest transition ou forest-area transition) proposé par A. S. Mather en 1992 : “the change from decreasing to expanding forest areas that has taken place in many developed countries”. Comme il le présageait, le processus n’a pas tardé à s’étendre, touchant d’autres pays à travers le monde, notamment tropicaux, tel le Viêt Nam (Meyfroidt & Lambin, 2008), étant entendu que “other forest transitions exist in Tropical Asia and in Latin America” (ibid.). Ainsi, ““forest transitions”[[4]] have recently received much attention” (Kull, 2017) mais elles nécessitent de s’interroger notamment sur ce que l’on entend par « forêt », en prêtant attention à ses divers processus, sociaux autant qu’écologiques (ibid.). En l’occurrence, dans la phase d’expansion forestière de cette transition, les plantations forestières, aux côtés des forêts secondaires, occupent une place croissante (Mather, 1992) et ceci vaut notamment pour les « plantations exotiques » (Kull, 2017). L’étude de ces « transitions forestières » nous place sur un temps plus long. Les propositions fondées sur l’analyse des mutations passées seront donc bienvenues, dans la mesure où elles viseront à mieux comprendre les dynamiques forestières actuelles et à venir. On pourra se demander dans quelle mesure le changement climatique infléchit les transitions forestières dans les pays où elles sont encore en cours et s’il ne place pas les pays où elles sont achevées à l’orée d’une nouvelle transition. Le terme de « transition » est enfin entendu aujourd’hui dans un sens qui est en fait hérité de celui donné par R. Hopkins, dans son manuel publié en 2008, The Transition Handbook From Oil Dependency to Local Resilience : il y propose un plan de décroissance énergétique. L’origine est ainsi « plus militante et plus radicale », comme le souligne C. Larrère (2021) qui considère que c’est un mot « vague et polysémique » mais aux nombreux « avantages » « pour caractériser le changement social », y voyant une opportunité « d’envisager la continuité d’un processus amorcé au sein des processus naturels et qui se continue dans le milieu social ». Le terme renvoie là à la transition qualifiée d’écologique, d’environnementale ou d’énergétique. En ce sens, elle n’est alors pas « un changement observé, en cours ou terminé, que l’on tente de modéliser de manière plus ou moins formelle, pour mieux en comprendre la dynamique » – comme c’était le cas des précédents sens – mais est entendue comme « un projet de société, qui s’incarne dans des politiques publiques, que ces politiques soient transversales (comme pour les transitions territoriales ou écologiques) ou sectorielles (transitions énergétiques ou agro-alimentaires par exemple) » (Gonin, 2021). On est là dans les mesures mises en place en réaction au changement climatique, voire aux changements globaux, pour les atténuer ou s’y adapter, et le terme est en fait utilisé en remplacement de celui de développement durable. On questionnera là l’influence de ces projets de société sur les forêts, les services qu’elles rendent, les représentations qui y sont associées, leur gestion, leurs caractéristiques et leurs dynamiques. En l’occurrence, comment concilier les différentes attentes vis-à-vis des forêts : essor de la bioéconomie, pour répondre à la demande en bois énergie et matériaux biosourcés, augmentation de la séquestration et du stockage du carbone, préservation de la biodiversité et développement d’activités récréatives ?
Pour questionner ces transitions qui affectent les forêts, dans leurs dynamiques actuelles et à venir, trois axes sont envisagés :
Axe 1 : Concepts et méthodes Quels concepts et méthodes faut-il privilégier pour des approches interdisciplinaires sur les forêts et leurs dynamiques ? Lesquels permettent de renouveler les recherches dans le contexte actuel d’un changement climatique qui s’accélère ? La théorie de la transition forestière est-elle toujours pertinente ? Dans les pays qui ont achevé cette transition, les sylvosystèmes ont-ils atteint « un régime d’équilibre » ? Celui-ci n’est-il pas remis en cause par le changement climatique ? Comment identifier un tel régime ? Au-delà, le concept de transition est-il adapté pour évoquer les mutations en cours et à venir, suscitées par le changement climatique et plus largement les changements globaux ? On questionnera aussi la transition en lien avec d’autres concepts, comme celui de développement durable ou celui de services écosystémiques. Dans quelle mesure ces concepts sont-ils mobilisés par les chercheurs de différentes disciplines, voire par les acteurs du territoire ? Autorisent-ils une approche interdisciplinaire des forêts et sont-ils ainsi propices à l’étude de leurs mutations, y compris dans une visée prospective ? Quelles méthodes et quels outils faut-il déployer pour mieux caractériser les forêts et les transitions qui les affectent ? Quelles sont les méthodes innovantes ? Qu’apportent les images à hautes résolutions spectrales et spatiales, les données LiDAR, les capteurs au sol ? Qu’en est-il des méthodes d’enquêtes en sciences humaines et sociales, visant à libérer la parole des enquêtés et à favoriser les échanges ? Les changements en cours et à venir nécessitent-ils de nouvelles méthodes ?
Axe 2 : Mesures et analyses Quelles sont les caractéristiques des forêts actuelles et quels sont les indices laissant penser qu’une transition est en cours ? Quelle en est l’ampleur ? Quels en sont les facteurs ? Dans quelle mesure le changement climatique est vecteur de nouvelles problématiques et dynamiques ? Qu’en est-il des autres facteurs d’évolution évoqués précédemment ? Comment se conjuguent-ils ? Est-on à l’orée d’une nouvelle transition forestière ? Un plus grand recul temporel peut être nécessaire. Dès lors, quels sont les pas de temps les plus pertinents ? Quels sont les rythmes des transitions ? Quelles ont été les phases de crise et de résilience et comment les expliquer ? Se répètent-elles dans le temps et/ou l’espace et dans quelle mesure permettent-elles de mieux comprendre les évolutions en cours ? Quels sont ces changements en cours, en termes de biodiversité, pédologique, hydrique, climatique, de pratiques et représentations ou plus largement de services écosystémiques ? Quelle est l’importance des dépérissements et quelles en sont les causes localement ? A contrario, quels dommages causent les espèces exotiques envahissantes ? Dans quelle mesure les forêts actuelles sont-elles en « crise », menacées ? Quelles sont ces menaces et quels en sont les impacts ? Quelles forêts subissent les plus fortes pressions ? S’agit-il toujours des forêts tropicales, en proie aux déforestations ? Qu’en est-il des forêts urbaines ? N’y a-t-il pas des forêts plus résilientes et, auquel cas, quelles sont-elles ? Quels mécanismes mettre en place pour préserver les forêts menacées : paiements pour services environnementaux, marché du carbone, aires protégées, (trans)plantation... ? Dans quelle mesure les transitions en cours peuvent-elles constituer des opportunités et sous quelles conditions ? Dans quelle mesure les forêts participent à l’atténuation du changement climatique et quelle dynamique cela génère-t-il : est-ce que cela concourt à la préservation et/ou à l’extension des forêts et, dans ce cas, quel type de forêts ? Comment la filière prend-elle en compte ces caractéristiques et ces possibles évolutions ? Quels regards les acteurs des territoires, les acteurs de la filière et les habitants portent-ils sur les forêts ? Perçoivent-ils les transitions en cours et quelles représentations y associent-ils ? Quelles attentes placent-ils dans les forêts ? Axe 3 : Prospective À quels changements faut-il s’attendre ? Sur quelles bases se fonder pour imaginer les forêts de demain ? Dans quelle mesure peut-on tirer les leçons du passé ? En France, l’ONF (Office national des forêts, en charge de la gestion des forêts publiques en France) a créé des « îlots d’avenir » pour « connaître les essences qui demain sauront résister aux climats plus chauds et secs »[5]. Retrouve-t-on de telles initiatives ailleurs dans le monde ? D’autres approches sont-elles expérimentées ? Quels en sont les premiers résultats et qu’augurent-elles pour l’avenir de nos forêts ? Sur quels critères les gestionnaires forestiers se fondent-ils pour favoriser telles ou telles espèces ? Est-ce une adaptation au climat actuel et/ou futur mais alors sur quelle base/quel scénario ? Prennent-ils en compte les besoins en bois, les possibilités locales de transformation et donc les propriétés mécaniques du bois des espèces privilégiées ? Qu’en est-il des préférences et valeurs des acteurs des territoires et des habitants, sur les plans environnemental et paysager : quelles sont-elles et comment les intégrer dans la prise de décision sur l’adaptation des forêts ? En d’autres termes, comment concilier exigences environnementales, nécessités économiques et attentes sociétales, pour des forêts durables ? La question sera bien sûr aussi celle de la place des plantations forestières, dont celles à croissance rapide, faisant là le lien avec le projet Plantaclim, à l’origine de cet appel. Dans le cadre de ce projet, nous nous sommes centrés sur des espèces déjà plantées qui semblent confortées (peuplier), voire s’étendre (pin maritime). Mais des transplantations de nouvelles espèces exotiques sont aussi envisagées ; quelles en seraient les incidences écologiques et sociétales ? Quelles précautions les gestionnaires forestiers prennent-ils face au risque d’invasion ? Ne peut-on pas d’ailleurs tirer parti des espèces exotiques qui se sont révélées envahissantes ? D’un point de vue écologique et sociétal, faut-il agir ou laisser faire la nature, comme le défendent certaines associations de protection de l’environnement ? Les propositions pourront s’inscrire dans l’un et/ou l’autre de ces trois axes.
Une sélection de textes issus des communications fera l’objet d’une publication. Modalités de soumission des propositions Les contributions pourront se faire sous forme de communication orale ou de poster scientifique (format A0), à préciser au moment du dépôt. La langue anglaise sera privilégiée, même si le français sera aussi accepté. Les propositions sont à saisir sur le site dédié au colloque : https://forests.sciencesconf.org. Elles comporteront un titre, 5 mots-clés, le ou les axes dans le(s)quel(s) la proposition s’inscrit et un résumé de 3 500 caractères maximum (espaces compris) présentant la problématique/question de recherche, les méthodes, le terrain et les principaux résultats qui seront exposés lors de l’intervention ou sur le poster.
Date limite de soumission des propositions : 2 février 2024 Les propositions seront soumises à évaluation par les membres du comité scientifique. À l’issue de ce processus, l’avis sera adressé aux auteurs, soit entre mars et avril 2024.
Références citées Amat J.-P., Phung Tuu B., Robert A. & Trân Huu N., 2010, “Can fast-growing species form high-quality forests in Vietnam, examples in Thùa Thiên-Huê province”, Bois et Forêts des Tropiques, n° 305 (3), p. 67-76, https://revues.cirad.fr/index.php/BFT/article/view/20440/20199. Ateliers ReGeFor 2020, 2023, Dossier « Forêts en crise : relevons le défi ! », Revue forestière française, vol. 4, n° 2, https://revueforestierefrancaise.agroparistech.fr/issue/view/735. Bouget C., Cours J. & Sallé A., 2023, « Forêts en crise et biodiversité : menaces et opportunités. Effets des dépérissements et de leur gestion sur la biodiversité forestière », Revue forestière française, vol. 4, n° 2, https://doi.org/10.20870/revforfr.2023.7594. Bourg D. & Papaux A. (dir., 2015), Dictionnaire de la pensée écologique, Presses universitaires de France, 1 088 p. Doyon S. & Bougie S. (2022), « Transition et décroissance », Anthropen, https://doi.org/10.47854/anthropen.v1i1.51128 Géoconfluences, 2022, « Changement environnemental global, changements globaux », http://geoconfluences. ens-lyon.fr/glossaire/changements-globaux Gonin A., 2021, « Transition », Géoconfluences, http://geoconfluences.ens-lyon.fr/glossaire/transition. Hopkins R., 2008, The Transition Handbook From Oil Dependency to Local Resilience, Green books, 224 p. Javelle A., Kalaora B. & Decocq G., 2010, « De la validité d'une invasion biologique. Prunus serotina en forêt de Compiègne », Études rurales, 2010/1 (n° 185), p. 39-50. Koutika L.-S. & Richardson D. M., 2019, “Acacia mangium Willd: benefits and threats associated with its increasing use around the world”, Forest Ecosystems, vol. 6, Article number: 2, https://doi.org/10.1186/s40663-019-0159-1 Kull C., 2017, “Forest Transitions: A New Conceptual Scheme”, Geographica Helvetica, n° 72, p. 465-74, https://doi.org/10.5194/gh-72-465-2017/ Larrère C., 2021, « Pourquoi parle-t-on de « transition » écologique ? », The Conversation, https://theconversation.com/pourquoi-parle-t-on-de-transition-ecologique-154104 Mather A. S., 1992, “The forest transition”, Area, vol. 24, no 4, p. 367-379. McNeill J. R., & Engelke P., 2016, The Great Acceleration: An Environmental History of the Anthropocene since 1945, Harvard University Press, Cambridge, 288 p. Meyfroidt P. & Lambin E. F., 2008, “Forest transition in Vietnam and its environmental impacts”, Global Change Biology, vol 14, n° 6, p. 1319-1336, https://doi.org/10.1111/j.1365-2486.2008.01575.x Robert A. & Boughedada T., 2023, « Appel à contributions : Entre changement climatique et écologisation de la société, la filière forêt-bois en transition ? », Développement durable & Territoires, https://journals.openedition.org/developpementdurable/22025 Tran Quoc C. et al., 2023, “Factors associated with deforestation probability in Central Vietnam: a case study in Nam Dong and A Luoi districts”, Journal of Forest Research, vol. 28, issue 3, p. 159-167, DOI: 10.1080/13416979.2023.2182259.
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------- [1] Pour plus d’informations, consultez le site internet du projet : https://plantaclim.univ-tours.fr/.
[2] Larousse : https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/transition/79157 ; Le Robert : https://dictionnaire.lerobert.com/ definition/transition, consultés le 26/08/2023. [3] « En forêt, changement de décor » : propos d’A. Robert, recueillis par E. Boutheloup, https://www.magcentre.fr/ 251698-en-foret-changement-de-decor/, consulté le 26/08/2023. |
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